Dix autrices des éditions Chèvre Feuille étoilée en lecture, Gazette Café, Montpellier, samedi 21 mai à 19h,

Parmi les dix autrices, quatre adaïstes seront présentes :
Caroline Fabre-Rousseau lira un extrait de son livre Elles venaient d’Orembourg
Sylvie Léonard, Marie de Montpellier
Françoise Renaud, Ce qu’elle veut dire
et Janine Teisson…

Les autres autrices sont : Maya : Si j’écris, moi aussi / Alexa Faucher : Puisqu’on a marché sur la lune / Louise Hapton : la librairie du coin de la rue / Rabia : Une valise dans la tête / Charlotte Cayeux : L’autre Ahmed ou l’attente.
Marie-Noël Arras lira un texte de Algérie ma déchirure de Behja Traversac.

 

Janine Teisson lit au jardin, quartier des Aubes, Montpellier, 15 mai 2022

Janine Teisson sera dans un joli jardin du quartier des Aubes
avec une chanteuse arabo-andalouse, un photographe et une bijoutière
le dimanche 15 mai, à partir de 13h30

Elle lira  les textes que vous choisirez et vous pourrez, au cours du circuit, visiter ainsi 14 jardins pleins de fleurs et d’artistes.

Les galops de Raïna, une lecture musicale de Janine Teisson, Gazette Café,15 avril 2022

Janine Teisson lira Les galops de Raïna

« Quand elle a entendu le violon, elle est passée par-dessus la grille. »

Par la musique, Raïna, jeune chanteuse bulgare, se sauve du cauchemar qu’était sa vie. Juan, le violoniste, la suit sans condition.

vendredi 15 avril à 19h

 

Le guitariste David Collado, avec des mélodies de l’est, musiques tziganes et flamenco, accompagnera  cette nouvelle où alternent violence et douceur, beauté et horreur,  amour et vengeance.

à découvrir aussi les éditions de l’OURS et ses merveilles !

 

 

Sous ma fourrure de mots, lecture de Jeannine Teisson, Gazette café, Montpellier, 17 mars 2022

au Gazette café , 6, rue Levat, Montpellier
le jeudi 17 mars, à 19h

Sous ma fourrure de mots

mois de mars, Printemps des poètes
Janine Teisson lira des poèmes inédits ou extraits de ses recueils

Icare mon amour, Renaître et Au clair de la nuit.

Sa poésie nous dira les fêlures, l’enfance, le temps qui passe, l’amour, la beauté et la douleur du monde, l’écriture vitale et la mort et l’humour.

lecture de Janine Teisson, Gazette Café, Montpellier, 7 décembre 2021

Nous sommes tous, à l’origine,  le fruit d’une rencontre, quelle qu’elle soit.
Par la suite, la vie n’est que rencontres, découvertes, hasards.
Rencontres avec l’autre, avec les autres, rencontres avec soi, rencontre avec l’amour, avec la souffrance, la nature, la mort…
Rencontres fortuites, éphémères, ou rencontres qui changent le cours d’une vie et nous transforment à jamais. Vous vivrez donc diverses rencontres, extraites d’une dizaine de mes livres. Et vous découvrirez mon écriture et mon univers. A bientôt !

Janine TEISSON

 

Tatouages, chez Ours éditions

Tatouages, recueil de nouvelles, collection 22 222, Ours éditions, 2020 (2€)

 

Six auteurs ont tenu la gageure de composer une anthologie sur le thème du tatouage. :

Janine Teisson : C’était écrit !
Philippe Caza : Adagio Tatoo
Henri Lehalle : Changements dialectiques
Joëlle Wintrebert : La faim justifie les moyens
Pierre Hébrard : Quatre kanjis
Claude Ecken : Palimpseste de la douleur

 

22 222 c’est une collection de textes de littérature (noire, blanche, multicolore…) et d’essais en sciences humaines et sociales, chaque ouvrage tient sur une page A3 pliée en un cahier de 16 pages.
22 222 c’est le nombre de caractères que l’éditeur s’était fixé l’à l’origine pour la taille des textes de la collection mais un plan de bataille ne résistant pas aux premières secondes du combat, l’éditeur adapte en permanence la mise en page pour honorer les beaux textes qui lui sont confiés.

 

Présentation de l’ouvrage par Janine Teisson :

« Mon texte est le plus court, le plus gentil, et le plus rigolo. Les autres textes sont très forts. La nouvelle de Philippe Caza m’a émue comme chaque fois que la musique et le plaisir s’incarnent. Celle d’Henri Lehalle lui va très bien : une réflexion amusée sur les goûts qui changent, de génération en génération. Celle de Joëlle Wintrebert est magnifiquement horrible et féministe. Le texte de Pierre Hébrard est un douloureux paradoxe et Claude Ecken fait du tatoué un tableau vivant puis une nature morte, chatoyant des émotions d’une vie entière. Je vous assure que ces tatouages vont en profondeur! »

chez l’éditeur