La Scam, victime d’une cyberattaque : message à l’attention de nos membres
lire ici le courrier d’Hervé Rony, directeur général
infos SGDL, 22/07/2024
Le Conseil d’administration du Centre national du Livre (CNL), au sein duquel siège la SGDL, a décidé de réévaluer le tarif de rémunération minimum au feuillet des traducteurs.
À compter du 22 septembre 2024, il passe de 21€ à 23€.
Pour être éligibles aux aides à la traduction du CNL, les projets présentés par des éditeurs devront être accompagnés d’un contrat de traduction faisant explicitement apparaître :
• Le versement d’un à valoir d’au moins 23 euros par feuillet dactylographié de 25 lignes de 60 signes (blancs et espaces compris), ou par tranche informatique de 1 200 signes espaces compris incluant une revalorisation de 15 % à 30% du nombre total de signes ;
• Des droits proportionnels aux ventes de l’ouvrage.
Dans un contexte inflationniste et de dégradation des conditions économiques pour les auteurs et traducteurs, cette réévaluation était indispensable. Ce tarif minimum de rémunération à vocation à être reconnu par l’ensemble de la profession.
Après avoir fêté dignement ses 20 ans, le Prix Hemingway repart pour une vingt et unième édition.
Depuis 2004 des centaines d’auteurs participants ont fait confiance à ce prix littéraire original, nous faisant parvenir leurs textes depuis les cinq continents. Les Avocats du Diable, la maison d’édition Au diable vauvert et Simon Casas Production lancent l’appel à texte pour ce Prix Hemingway 2025.
Les Avocats du Diable organisateurs du prix informent que la date limite pour cette vingt et unième édition est fixée au 15 février 2025. L’auteur(e) de la nouvelle lauréate recevra la somme de 2000 euros et un callejón aux arènes de Nîmes pour la temporada suivant l’année de la remise du prix, offert par Simon Casas production, partenaire du Prix Hemingway. Le recueil composé de la nouvelle lauréate et des meilleures nouvelles sera publié aux éditions Au diable vauvert, partenaire du prix Hemingway.
un article de Louella Boulland , 13/06/2024, sur le site ActuaLitté
Dans cette tribune, la Société française des traducteurs (SFT), syndicat professionnel des métiers de la traduction et de l’interprétation, se fait la porte-parole des mises en garde des professions qu’elle représente, pour que l’humain reste au cœur de la technologie et que le développement non encadré de solutions d’intelligence artificielle générative à des fins de traduction et d’interprétation ne conduise pas à l’appauvrissement de la langue et de la pensée critique.
sur une proposition de Joëlle Wintrebert
Dans cet entretien de 25 minutes, le peintre Vincent Bioulès aborde la genèse du groupe Support-Surfaces, puis son retour à la peinture figurative ainsi que sa vision de la spiritualité, son lien avec la nature et la lumière, au travers de la peinture.
Et il est aussi question de poésie…
Face Nord, Vincent Bioulès, 2016 (huile sur toile 97X130cm) – Photo Galerie La Forest Divonne
un événement coorganisé par Autour des Auteurs et Occitanie Livre & Lecture
Coordination de l’événement et réalisation de la vidéo :
Sylvie Léonard pour ADA
Trouvé sur Quora, cet « Indice d’un roman médiocre » de Cyril Destoky, qui liste un nombre d’items incroyable à surveiller quand on écrit un livre.
Attention, bien lire l’introduction et la coda : l’auteur précise bien que ce sont des pistes, et que la présence de l’un ou l’autre ou de plusieurs des items n’implique pas du tout que le roman soit médiocre.
Tant qu’on y est, voici un texte sur la réécriture d’un texte, que l’on pourra compléter à loisir (j’ai ajouté les prépositions).
un article de François Szabó paru dans L’Étrave n°281, mai juin 2024
publication bimestrielle de Poètes Sans Frontières (revue papier)
Être poète implique à la fois une certaine discipline et une offrande au monde. Exigence de tous les instants, ici la médiocrité n’a pas sa place. On n’est pas poète à moitié ni par intermittence. C’est un métier de vivre, tel que l’énonce Cesare Pavese, c’est une profonde immersion dans la responsabilité qui ne peut être qu’assumée. C’est aimer sans compter, c’est donner sans reprendre, c’est un acte de foi, c’est une exigence sublime.
La Poésie est également le domaine de tous les possibles, car l’élan créateur est le lien de toute floraison et fructification, la poésie est un printemps toujours réitéré.
C’est ardemment affirmer la tendresse comme origine de toute humanité accomplie, de toute manière d’œuvrer au monde.
Si pour Eeva-Liisa Manner, le monde est le poème de mes sens, la solitude est le creuset de l’œuvre poétique :
À quel point la solitude peut se propager de moi, les buissons périssent, les arbres s’enfuient et les martres, les martres.
La froidure de la nuit s’éloigne lentement toujours plus comme la frange d’un glacier et recouvre les petits corps. Les arbres au-dehors soutiennent la vacuité, la solitude comme une pierre passe d’arbre en arbre Infinitude et neige.
Et comme tout philosophe affirmer La Sagesse de l’Amour.
C’est aussi le sens orphique de l’amour qui sauve les âmes de l’errance. Et tel Czesław Miłosz tout mettre en œuvre. Si tel Pierre Reverdy, le poète écrit pour se réaliser, il est redevable à ses prédécesseurs et à l’écoute de ses contemporains. Heureusement il reste des vocations et cela est plutôt réjouissant.
Qu’est-ce que la SOFIA ? Comment est-elle née ? Pourquoi il est intéressant de s’y inscrire ?
Colette Vlérick, administratrice SOFIA, vous explique tout dans ce numéro spécial de SELF Infos. N’hésitez pas à suivre les liens dans le document pour avoir des informations complémentaires.
une communication de Joëlle Wintrebert
La Société des Gens de Lettres (SGDL) et le Syndicat national de l’édition (SNE) s’associent pour créer, avec le soutien de la SOFIA, un fonds d’indemnisation des créances de droits d’auteur non recouvrables au terme d’une procédure de liquidation.
Le fonds est à ce jour intégralement financé par la SOFIA, par affectation d’une partie des sommes dites « irrépartissables » du droit de prêt (part éditeurs). La commission compte treize membres, dont un représentant de la SOFIA.