Les jurés de la rentrée littéraire, sur ActuaLitté, 20 septembre 2023

un article d’Antoine Oury, sur le site ActuaLitté, 20/09/2023

Une sociologie des jurés des prix de la rentrée littéraire

#PrixAutomne23 – Événement sans doute plus commercial et médiatique que littéraire, la rentrée de septembre réjouit les éditeurs. Mais pas que : au cœur de Saint-Germain-des-Prés, des jurés usent de leur influence pour désigner quelques heureux et heureuses élues… Un examen sociologique de ces personnalités renseigne sur la manière dont la culture littéraire légitime se définit, à cette période de l’année. Et, surtout, par qui : en majorité des hommes blancs, souvent fils de notables, âgés de 63 ans en moyenne et… de droite ?

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une communication de Joëlle Wintrebert
illustration, site Viabooks.fr, 2021

 

Les offices sauvages en librairie, un article sur ActuaLitté

un article d’Antoine Oury – 02.04.2019, ActuaLitté


Où l’on découvre au passage que pour compenser un libraire qui a reçu des livres qu’on lui a fourgués de force, certains éditeurs lui offrent… des services presse en quantité pour qu’il puisse les vendre sans les avoir achetés. C’est bien gentil comme geste. Ça permet aux éditeurs de spolier les auteurs de ces livres (ils ne toucheront pas de droits sur ces exemplaires) pour compenser la générosité commerciale dont ils font preuve. En clair, une fois de plus, la chaîne du livre fait ses affaires… sur le dos des auteurs.

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info transmise par Nicolas Ancion
Illustration empruntée au site ActuaLitté : Colis Hachette (ActuaLitté, CC BY SA 2.0)

La SCELF suspend la perception sur les lectures publiques pour 5 ans

Lire l’article d’Antoine Oury, du 18 décembre 2018, sur le site ActuaLitté

La SCELF (Société Civile des Éditeurs de Langue Française) avait rouvert les négociations autour d’une perception du droit de représentation en bibliothèque, qui devait aboutir à une taxe sur les lectures publiques dans les établissements. La levée de boucliers a été générale, et l’organisation annonce aujourd’hui une suspension, pour 5 ans, des perceptions sur les lectures publiques.
« [S]ouhaitant soutenir les bibliothèques dans leur mission de diffusion de la lecture, la SCELF, au nom des éditeurs qui l’ont mandatée, accepte de suspendre la perception relative à ce droit pendant une durée de cinq ans », annonce la SCELF dans un communiqué publié aujourd’hui. Cette décision fait suite à de nombreuses réactions contre la perception d’un droit de représentation auprès des bibliothèques pour la lecture publique d’ouvrages.
(…)
La Société Civile des Éditeurs de Langue Française choisit toutefois la suspension, et non la suppression de cette perception : « La SCELF tient à rappeler l’existence de ce droit de représentation des œuvres, dont la reconnaissance participe de celle plus générale du droit d’auteur, sur laquelle repose la chaîne du livre et de la création littéraire », souligne l’organisation.
« Parallèlement, concernant les lectures par les auteurs, la SCELF confirme qu’elles ne donneront lieu à aucun droit, autre que la rémunération versée pour leur prestation de lecture, dès lors que ces lectures s’effectuent dans un cadre non marchand. Une concertation avec la SGDL est en cours, qui permettra de formaliser les modalités de cet accord dans les meilleurs délais », précise la SCELF. »

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Il arrive que les mobilisations aboutissent…

une communication de Joëlle Wintrebert
photo d’illustration, Cellule Communication, CC BY-SA 2.0 (empruntée au site ActuaLitté)

… (probablement) un homme

L’auteur français a 55 ans, signe de son vrai nom et est (probablement) un homme

lire ici l’article d’Antoine Oury, du 21 juin 2016 publié sur le site ActuaLitté

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Une étude réalisée par la BNF, à partir du dépôt légal. Ses conclusions ne surprendront personne, mais c’est toujours intéressant d’examiner décomptes et graphiques.

proposé par Joëlle Wintrebert / illustration graphique empruntée au site ActuaLitté

La fin des éditeurs ?

Un article d’Antoine Oury publié le 5 mai 2016 sur le site ActuaLitté

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Laurent Bettoni : “L’autopublication redonne plus de poids à l’auteur”

Laurent Bettoni est un vieux de la vieille de l’autopublication. C’est lui qui le dit : les auteurs indépendants le considèrent comme un « papy » dans le secteur, une référence. Pourtant, c’est Robert Laffont qui publie son premier livre, Ma place au paradis, en 2005. S’il s’est tourné vers l’indépendance et la diffusion sur Amazon via Kindle Direct Publishing, c’est un peu par nécessité, constatant que l’édition traditionnelle n’offre que peu de chances aux jeunes auteurs. Laurent Bettoni se lance aujourd’hui dans la création d’un label éditorial, Les Indés, qui cherche également, à sa manière, à proposer une nouvelle voie pour les auteurs et l’édition.

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