Vers un statut européen des artistes-auteurs ? | site ActuaLitté, 18 janvier 2024

un article d’Antoine Oury du 18/01/2024 sur le site ActuaLitté

Depuis plusieurs semaines, des organisations françaises d’auteurs de l’écrit se sont lancées dans une campagne de soutien à une initiative législative du Parlement européen. L’objectif ? Inciter la Commission européenne à agir pour améliorer les conditions de vie des artistes-auteurs, notamment par la création d’un statut.

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une communication de Joëlle Wintrebert

 

Une étude très intéressante sur les jeunes et l’écriture, site Actualitté, 27/11/2023

un article de Hocine Bouhadgera, ActuaLitté, 27 nov 2023

Les jeunes et l’écriture : une vaste étude

L’Institut National de la Jeunesse et de l’Éducation Populaire (INJEP) présente une étude sur les pratiques d’écriture des adolescents français au XXIe siècle. Menée par le chargée de mission scientifique Lecture Jeunesse, Christine Mongenot et la professeure en sciences de l’information et de la communication, Anne Cordier, elle combine une analyse quantitative auprès de 1500 jeunes de 14 à 18 ans et des entretiens qualitatifs avec 50 adolescents, cherchant à comprendre comment les technologies modernes et l’écriture informelle hors de l’école influencent leurs compétences scripturales.

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Accéder au rapport d’étude de l’INJEP ici

une communication de Joëlle Wintrebert

 

L’Assemblée nationale adopte la rémunération “appropriée” des auteurs, site ActuaLitté, 19 octobre 2023

un article d’Antoine Oury, 19 octobre 2023, sur le site ActuaLitté

Les auteurs doivent-ils être rémunérés d’une manière « appropriée » sur les recettes provenant de la vente ou de l’exploitation ? L’Union européenne estimait que oui, dans une directive d’avril 2019, que la France a tardé à transposer. Et qu’elle n’a fait que partiellement, omettant ce même terme, « appropriée ». Une bourde qu’un cavalier législatif, au sein du projet de loi visant à sécuriser et réguler l’espace numérique, tente de corriger. Le 17 octobre, l’Assemblée nationale a voté la mesure, sans débat.

4 secondes. C’est le temps qu’il aura fallu aux députés de l’Assemblée nationale présents ce 17 octobre pour voter l’article 34 du projet de loi visant à sécuriser et réguler l’espace numérique. Ce texte, déposé par Bruno Le Maire en mai 2023, souhaite introduire de nouvelles règles sur internet, pour protéger les utilisateurs, notamment mineurs, et les entreprises.
Mais le projet du gouvernement compte un cavalier législatif depuis l’amendement du sénateur Julien Bargeton (Renaissance), autrement dit une disposition qui n’a pas grand-chose à voir avec le fond du dossier.

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ActuaLitté

Photographie : à l’Assemblée nationale, le 17 octobre 2023 (capture d’écran)

Le Grand Prix de l’Imaginaire quitte Saint-Malo pour Montpellier, 27 septembre 2023

un article de Nicolas Gary, 27/09/2023, sur le site ActuaLitté

En 2024, pour célébrer son demi-siècle d’existence, le GPI tourne une page historique. Après treize années d’aventures avec le festival Étonnants Voyageurs de Saint-Malo et de la chaleureuse hospitalité malouine, le GPI traverse le territoire : direction Montpellier !

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illustration : Au cœur de l’imaginaire (Wikimedia Comons)
une info transmise par Joëlle Wintrebert

 

La méthode des éditeurs pour s’opposer aux intelligences artificielles, site ActuaLitté

Un article de Zoé Picard, 26/05/2023

« En plein développement, fortement médiatisées, les technologies d’intelligence artificielle s’« entrainent » en moissonnant et traitant des textes librement accessibles en ligne. Une directive européenne récente introduit même une exception au droit d’auteur pour la « fouille de textes et données », dès lors qu’un contenu est accessible en ligne. Mais les éditeurs peuvent s’y opposer assez simplement… »

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transmission par Joëlle Wintrebert

Roald Dahl | pour ou contre les modifications de ses textes ?

La polémique récente au sujet de la réécriture des livres de Roald Dahl ne vous a sans doute pas échappé.
Une conversation de l’auteur avec le peintre Francis Bacon (article sur le site ActuaLitté du 2/03/2023) montre parfaitement qu’il ne voulait sous aucun prétexte que l’on retouche ses textes.
Adaptation que l’éditeur français, Gallimard, refuse quant à lui.

Hélas, l’ère des sensitivity readers (relecteurs en sensibilité !) importés des US n’a pas fini de sévir… tout comme la censure qu’ils impliquent sous couvert de politiquement correct.
Je ne parle évidemment pas ici de l’aide que peuvent vous apporter des spécialistes sur des sujets très précis.

Joëlle Wintrebert

Illustration empruntée au site ActuaLitté

Portail européen des œuvres indisponibles, 11 juin 2021

ActuaLitté

Œuvres indisponibles, le retour. Cette fois-ci, en Europe. Mais évidemment, vous avez le choix de vous opposer à l’édition sauvage de vos livres.
Un nouveau portail européen a été créé dans ce but. Il est conseillé de se connecter ici pour voir si l’un de vos titres (ou plusieurs) sont dans le collimateur, et si l’on souhaite s’opposer à la réédition.

Comme l’indique le site ActuaLitté  :

L’article 8 de la directive européenne sur le droit d’auteur et les droits voisins dans le marché unique numérique portait sur « l’utilisation d’œuvres et autres objets protégés indisponibles dans le commerce par les institutions du patrimoine culturel ».
Cet article visait à un accès facilité au patrimoine européen, du XXe siècle notamment, et plus particulièrement aux œuvres indisponibles, qui ont été publiées, mais qui ne sont plus proposées commercialement aux lecteurs. Selon cet article, les États membres devaient prévoir « qu’un organisme de gestion collective, conformément aux mandats donnés par les titulaires de droits, peut conclure un contrat de licence non exclusive à des fins non commerciales avec une institution du patrimoine culturel, en vue de la reproduction, la distribution, la communication au public ou la mise à disposition du public d’œuvres ou d’autres objets protégés indisponibles dans le commerce ».
Condition indispensable à cette exception au droit d’auteur, une publicité autour de ce contrat de licence non exclusive à des fins non commerciales, par l’intermédiaire d’un portail en ligne, « au moins six mois avant que ces œuvres ou autres objets protégés soient distribués, communiqués au public ou mis à la disposition du public ».

Ce fameux portail est donc en ligne, à cette adresse. Les auteurs et autres ayants droit sont ainsi vivement invités à l’utiliser, dans le cas où ils souhaiteraient « exclure leurs œuvres ou autres objets protégés du mécanisme d’octroi de licences », comme le prévoit l’article 8 de la directive.

Une communication de Joëlle Wintrebert
Photographie Nenad Stojkovic, CC BY 2.0 (empruntée au site ActuaLitté)

Place nette au CNL : le ministère de la Culture balaye toute dissidence.

article du 24/03/2021 – Nicolas Garry, site ActuaLitté

Les nominations dévoilées, le Centre national du Livre dispose donc d’un nouveau conseil d’administration : deux arrivées, donc deux départs, que l’on n’osera pas corréler. Pourtant, cette nouvelle composition interroge, autant qu’elle laisse songeur. Quels seront les interlocuteurs de la présidente, Régine Hatchondo, et quelle ligne forment-ils, en écho au ministère de la Culture qui les a nommés ?

Lire l’article ici

 

ActuaLitté

Crédit photo : ActuaLItté, 24/03/2021

Stress post-traumatique : la désillusion de l’après rapport Racine sur ActuaLitté

un article de Nicolas Gary du 20/02/2020

Déception du côté des artistes-auteurs. Réjouissance du SNE et des sociétés de gestion collectives présentes. Les réactions sur les réseaux sociaux suffisent à comprendre quels groupes d’intérêts ont remporté cette bataille. En marge des annonces du ministre, ActuaLitté est allé recueillir les impressions sur les mesures présentées, découlant du rapport Racine.

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Éditeur, un vrai métier ?

Un article édifiant de Christophe Arleston et Audrey Alwet, sur ActuaLitté, 5/02/2020

Les éditeurs sont de plus en plus nombreux à déclarer benoîtement qu’auteur « n’est pas un métier ». Qu’il est inutile de légiférer. Récemment, le président de la SGDL, Mathieu Simonet, encourageait les auteurs à devenir médiateurs culturels plutôt que de vouloir être payés pour leurs oeuvres. Les éditeurs sont pourtant les premiers à se placer dans le cadre de l’industrie culturelle, à en réclamer les avantages, à trouver naturel que chaque acteur du livre, de l’imprimeur au libraire, soit un professionnel… à l’exception de l’auteur. Mais d’où vient cette assurance selon laquelle eux-mêmes méritent de vivre de leur travail quand les auteurs ne le pourraient pas ?

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Illustration empruntée au site ActuaLitté : © Sylvain Frécon – Et sur l’étude d’impact : authentique  

Les éditeurs vent debout contre le rapport Racine, sur ActuaLitté, 30 janvier 2020

Un article de Nicolas Gary, sur le site ActuaLitté, 30 janvier 2019

L’édition française a peut-être réalisé 2 % de croissance sur 2019, mais les éditeurs freinent des quatre fers quant à l’évolution des relations avec les auteurs. La remise du rapport de Bruno Racine ouvre en effet la porte à de nombreuses transformations, notamment dans la représentation des artistes-auteurs.

Chez les cadets de Gascogne, on le sait bien : « C’est qu’il est un objet, chez nous, dont on ne cause. Pas plus que de cordon dans l’hôtel d’un pendu ! » Personne ne se tapote alors le nez pour indiquer l’objet du délit, mais du côté du SNE, on se le pince un peu en évoquant le rapport de Bruno Racine.

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Illustration : Il est vert, ou é-vert-né ? – pixabay licence (site ActuaLitté)

L’Urssaf aux auteurs : Marche ou crève qu’importe, mais paye, sur ActuaLitté

Un article de Nicolas Gary – 30.12.2019 sur le site ActuaLitté

Décidément, les auteurs sont gâtés pour les fêtes. Nouveau coup de théâtre dans la gestion chaotique de la transition entre l’AGESSA et l’URSSAF-Limousin. Entre Noël et le jour de l’an, de nombreux artistes-auteurs de toutes les professions créatives ont reçu par courrier postal des échéanciers leur sommant de payer 975 € de cotisations sociales, sans autre forme de procès. 

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Photographie : « échéancier m’a tuer » – pixabay licence (site ActuaLitté)