NON !, monologue théâtral de Janine Teisson, 2 juin 2022, lycée Joffre à Montpellier

NON !

un monologue théâtral écrit par Janine Teisson et présenté par la compagnie Filomène
jeudi 2 juin 2022 à 19 h
Lycée Joffre à Montpellier
Compagnie Filomène et association Adodailes
comédienne : Émilie Chevrier
vidéaste : Renaud Dupré

Cette pièce, d’une durée de 45 minutes, met en scène une jeune fille de 17 ans, enfermée dans un hôpital psychiatrique pour anorexie. Elle est seule sur scène.
Qu’elle se parle à elle même ou qu’elle réponde, ou ne réponde pas aux questions du psychiatre, elle est seule. Le spectateur découvre au fil de son monologue les raisons de son retrait dans la maladie.

Rencontre-débat : Cette courte pièce est suivie d’une rencontre d’une heure avec la comédienne et l’autrice, et  d’un débat sur les troubles des conduites alimentaires, animé par l’association Adodailes dans le cadre de la journée mondiale des TCA

Durée de la pièce : 45 mn / Durée du débat : 45 mn
Spectacle gratuit
inscription obligatoire ici

 

Matthieu Becker, au Carré Rondelet, Montpellier, REPORTE A JANVIER

La pièce de Matthieu Becker va se jouer le 16 décembre au Carré Rondelet, Montpellier

réserver des places Carré Rondelet c’est ici
réserver des places sur la FNAC, c’est ici 
visionner la bande annonce ici 

en savoir plus sur l’auteur

 

Quand l’Amour vous passera dessus !, une pièce de Matthieu Becker, 7 décembre 2019

 

Théâtre de Douzens, 2 rue du foyer, 11700 Douzens
Parking à 100 mètres du théâtre – Place de l’ormeau (adresse GPS)

Cette représentation se fera uniquement sur invitations.

en savoir plus ici sur la pièce

 

Artemisia, de Jean Reinert

Tertiarisa, théâtre, L’Oeil du souffleur, septembre 2016

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EXTRAIT
Borghese : La vérité, le juge Felice la découvrira, je n’ai aucun doute là-dessus.
Artemisia : Demain, il me fait subir le supplice de la Sibylle. Si je perds mes mains, c’est comme
si je mourais…
Borghese : Pourquoi tu t’imposes cette épreuve? Renonces-y.
Artemisia : Pour innocenter Agostino ? Et rester déshonorée ? Et mon père aussi ? Je préfère
mourir !
Borghese a un mouvement d’agacement.
Borghese : Ce procès est scandaleux. Malheur à celui par qui le scandale arrive ! Pour ce qui est
de la vérité, nous l’aurons. La justice de notre Saint-Père sera sans défaillance…
Artemisia : Pourquoi Agostino ne la subit-il pas, lui, la torture de la Sibylle ?
Borghese, avec une froide ironie: Hé! Mais j’en ai besoin, moi, des mains d’Agostino !