Jacques Sadoul, auteur, éditeur et anthologiste, a fortement contribué à l’émergence d’une contre-culture en France. Il a été l’un des premiers à publier des littératures de genre à destination d’un large public, via les collections mythiques qu’il a créées pour les éditions J’ai lu, dont il a assuré la direction éditoriale pendant trois décennies.

Le Prix Jacques Sadoul, dont le lancement a lieu le jour de l’anniversaire de Jacques Sadoul, est un concours de nouvelles. Il récompense chaque année le meilleur texte de « mauvais genre », jugé en fonction de sa qualité d’écriture, de l’imagination dont fait preuve son autrice ou son auteur, de son originalité et de son respect, ou de son irrespect assumé et conscient, des conventions propres au genre imposé.
POUR NOTRE TROISIÈME ÉDITION,
LE GENRE CHOISI PAR LE JURY EST…
L’HORREUR !
Afin de donner un peu de fil à retordre aux participantes et au participants et d’orienter leur imagination et leur mauvais esprit, nous leur proposons une phrase tirée de Je suis tout ouïe d’un œil distrait, le recueil des meilleures punchlines de Jacques Sadoul, compilées par ses collaborateurs.
CETTE ANNÉE, LA PHRASE CHOISIE EST :
« Y A QUELQU’UN QU’EST MORT.
J’ESPÈRE QUE CE N’EST PAS MOI. »







