André Gardies, invité des Automn’Halles pour son roman « La promesse de la mer » | Sète, 23 mars 2024

LES RENDEZ-VOUS DES AUTOMN’HALLES | 23 mars 2024 à 11 h

Auteur invité : André Gardies

Bar Le Plateau à Sète

Les Automn’Halles accueillent André Gardies pour La promesse de la mer, son dernier roman paru en 2022 chez Infimes Éditions. On y lit que Romain Falcolon, ancien cameraman à bord de la Calypso et proche de la retraite, accepte de tourner un film consacré à la pêche artisanale au Grau, la station balnéaire où il a passé son enfance. Entre repérages, contacts et premières prises de vues, il espère en avoir rapidement terminé mais de mystérieux courriels viennent perturber le projet. Un roman méditerranéen entre nostalgie et bonheur de vivre. Après des études de Lettres, André Gardies s’est spécialisé dans les études cinématographiques. Professeur à l’université Lumière-Lyon II durant plusieurs années, il a écrit durant près de trente ans des ouvrages spécialisés sur le cinéma. Depuis de nombreuses années, il se consacre entièrement à l’écriture de fiction.

Assemblée générale à la brasserie Le Dôme, Montpellier | mardi 5 mars 2024

De gauche à droite – Photo 1 : Sylvie Léonard, Francis Zamponi.
Photo 2 : Jean-Louis Cianni, Serguei Dounovetz, Raymond Alcovère, Line Fromental, Henri Lehalle, Joëlle Wintrebert, Marion Nicolau, Janine Teisson, Marie-Hélène Lafond, Danielle Ferré, Danielle Helme, Hervé Pijac – au centre : Christian Malaplate et en arrière Régine Seidel.
Photo 7 : Françoise Renaud, Francis Zamponi.

Photographies : 1 Joëlle Wintrebert / 2 à 6, 8  Françoise Renaud / 7 Sylvie Léonard.

Statut d’intermittents des écrivains, édito de Pascal Riché, BIBLIOBS | 1er mars 2024

édito de Pascal Riché, BIBLIOBS, 1er mars 2024
version en ligne ici

Un statut d’intermittents des écrivains, sur le modèle de celui des intermittents du spectacle : voilà une audacieuse réforme que Rachida Dati devrait engager pour marquer son passage rue de Valois. C’est du moins la conviction de l’auteur jeunesse et traducteur Mathias de Breyne, dont nous avons publié mardi une lettre ouverte adressée à la ministre de la Culture. Farfelue peut sembler l’idée, et probablement nulles sont ses chances d’être reprise par un gouvernement qui célèbre le travail (qu’on trouve « en traversant la rue ») et qui rabote la durée d’indemnisation du chômage avec l’ardeur des ponceurs de Gustave Caillebotte.

Et pourtant, elle mérite une vraie réflexion. Pourquoi Mathias de Breyne est-il obligé, pour survivre, de déterrer des carottes ou de castrer des épis de maïs, alors qu’il en est à son vingtième livre publié ? Pourquoi doit-il vivre dans la précarité dès la première panne d’inspiration, quand n’importe quel comédien, musicien ou ingénieur du son est assuré de toucher une rémunération chaque mois, quoi qu’il arrive ? Lire la suite…

Soirée poésie avec Christian Malaplate et Pierre Ech-Ardour, Montpellier, 14 mars 2024

dans le cadre du Printemps des Poètes

jeudi 14 mars 2024 / de 18 h à 21 h

Salle Pétrarque à Montpellier

 

« René CHAR,  Le veilleur insoumis »,  par Christian Malaplate 

    

Résistant à toutes les occupations militaires ou intellectuelles il était un bloc de granit monolithique dans ses jugements cassants et définitifs. Poésie sacrificielle du soleil, four à chaux des mots, la poésie de René Char est accaparante. Habitant des hautes solitudes, comme Saint-John Perse, il n’a pas sa palette de couleur. L’homme tenait sa lumière de sa liberté. Il écrit par fragments en lançant fiévreusement des brandons de mots. Il voulait être ce veilleur insoumis et fraternel qui prend soin des hommes autour du feu, face aux monstres. Lui, le capitaine Alexandre de la résistance, est le Char de la vie. On tombe sur ses poèmes comme sur des éclats de silex. Mais on sait en le quittant qu’il a allumé des feux pour faire reculer les ombres. René Char s’est autant voulu au cœur de l’homme qu’au cœur de la vie. René Char est l’infinitude.

 

Pierre Ech-Ardour avec son dernier ouvrage « Vespérales élégies », pérégrinations poétiques et cosmologiques de Sète à Céret

Ce recueil poétique est le premier d’une trilogie sujette au soutien triennal pour ce projet de Sète Agglopôle Méditerranée envers les Éditions Levant. Il est illustré de trois œuvres spécialement composées pour le livre par Chantal Giraud Cauchy (Pigments outremer et blanc – 2021). Le recueil trace les pérégrinations poétiques et cosmologiques de l’auteur entre Sète et Céret. La voix des poèmes porte une entière adresse à la Vie, à la Liberté, à la Femme et à l’Amour.

 

 

 

 

Scène ouverte à tous les poètes

Contact : christian.malaplate@wanadoo.fr / 0681076141

 

Une histoire cévenole, d’André Gardies

Une Histoire cévenole, roman(s), Chum éditions, février 2024
réédition  en un seul volume des deux romans : Les Années de cendres et Le Monde de Juliette.

  

Un ouvrage singulier dans lequel le ramage, comme dirait La Fontaine, se rapporte au plumage, le fond à la forme grâce à une présentation particulièrement originale
Un lieu, les Cévennes, un enfant, devenu homme et ses deux mères, l’une inconnue, la mère biologique, et l’autre la mère adoptive. Deux histoires et comme il est impossible pour le narrateur de faire un choix, un seul livre, avec les deux histoires, vues par les deux femmes, présentées en tête-bêche, pour ne pas faire de préséance.

Deux histoires émouvantes et remarquablement écrites réunies dans un seul volume dont voici la présentation vidéo.

 

 

Partage de la valeur entre éditeurs et auteurs | ActuaLitté, 14 février 2024

un article du site ActuaLitté, 14 février 2024

Le Syndicat national de l’édition, organisation patronale du secteur, a présenté le 1er février les données de son étude sur le partage de la valeur du livre entre les maisons d’édition et les auteurs. Une étude dont les méthodes et la présentation des résultats ont été largement décriées par les auteurs et leurs représentants. Le Conseil Permanent des Écrivains (CPE), dans un texte reproduit ci-dessous, signifie ses propres réserves, mais aussi ses attentes vis-à-vis du ministère de la Culture.

Lire la suite de l’article ici

 

On peut trouver l’étude économique du SNE sur le partage de la valeur ici

Également l’article d’Antoine Oury du 6 février 2024 : « Stupeur et colère des auteurs devant l’étude du SNE »

 

 

 

Lettre à mon ami Shan, de François Szabo

Lettre à mon ami Shan, poésie épistolaire, collection Plume d’ivoire n°43, Cap de l’Étang éditions, février 2024

 

 

Lettre à mon ami Shan est une œuvre épistolaire poétique qui retrace l’amitié de deux poètes, François Szabó et Shanshan Sun, au croisement des chemins, au carrefour entre la Chine et le Languedoc.
C’est aussi la certitude et l’évidence de ce qui fonde l’amitié, le partage des civilisations et de la poésie. De ce qui est irréductible et permanent, chaque jour réitéré.
C’est une condensation poétique des plus grandes significations humaines et civilisationnelles, c’est un texte de référence célébrant de manière érudite et esthétique ce parcours affectif des origines.
C’est également la fidèle évocation de Carole si longtemps occultée et maintenant désormais affirmée