‘Enfance de filles’, lecture collective et rencontre |18 mai 2025, jardin de l’hôtel de Lunas

dans le cadre de la Comédie du livre

Participantes : quatre autrices du parlement des écrivaines francophones dit PEF (dont Janine Teisson) et Marie-Noël Arras, éditrice de Chèvre-feuille étoilée.
Chaque autrice a écrit un texte dans le recueil collectif organisé par le PEF intitulé « Enfance de Filles ».

‘Dire l’injustice’, une lecture collective autour de « Ô Karim », un roman de Janine Teisson | vendredi 16 mai 2025

une rencontre proposée par l’Académie du Livre, dans le cadre de la Comédie du livre


Intervenants : élèves d’une classe de seconde, lycée Jean Jaurès, Saint Clément de Rivière

Autour du roman « Ô Karim » de Janine Teisson, les lycéens qui ont rencontré l’autrice en amont, forment un chœur où se mêlent des extraits du roman, des textes écrits par les élèves et des citations sur l’injustice.

« Ô Karim », lecture et danse, avec Janine Teisson | 14 mai 2025, dans le cadre de la Comédie du livre

Lecture et chorégraphies à partir du roman : « Ô Karim » Dans le cadre de la Comédie du livre, dix jours en mai.

Les jeunes de la Mosson, à travers leurs lectures et leurs chorégraphies, font un récit de la vie du personnage principal du roman Ô Karim.
Intervenants lecture : Janine Teisson et trois lecteurs de l’association IPEICC de la Mosson
Intervenants danse : un danseur urbain de l’IPEICC et trois danseurs en danse contemporaine 

au Gazette Café, Montpellier

Ô Karim, prose et poésie mêlées, Janine Teisson au Gazette-Café à Montpellier, 22 mars 2025

Une lecture d’extraits de Ô Karim par Janine Teisson rythmée par des poèmes dits par Claire Henquet

INTERVENANTES : Janine TEISSON et Claire HENQUET

Les textes extraits de Ô Karim lus par Janine Teisson alterneront avec des poèmes
d’Abdellati Lâbi, Anne sylvestre, Prévert, Grand Corps Malade, Villon etc…
dits par Claire Henquet, merveilleuse passeuse de poésie.

Janine Teisson en lecture musicale | 4 mars au Gazette café et 5 mars à la médiathèque Émile Zola | Montpellier

à l’occasion de la parution du livre collectif « Enfance de filles », aux éditions Chèvre feuille étoilée, un recueil organisé par le Parlement des Écrivaines Francophones (PEF)

Germaine Tillion, un héritage vivant

rencontres et échanges à la BNF François Mitterrand, 21 novembre 2024 | intervention de Janine Teisson à 10 h 05

« J’ai écrit en 2010 une biographie : Germaine Tillion, un long combat pour la paix, destinée aux lycéens et adultes qui ne connaissaient pas cette résistante rescapée de Ravensbrück entrée au Panthéon en 2015. Qui ignoraient son action pour la paix en Algérie, pour la fin du colonialisme, pour les femmes, contre le racisme etc.
L’association Germaine Tillion qui elle aussi fête ses vingt ans, m’invite le 21 novembre à faire une communication : Transmission de la pensée de Germaine Tillion auprès de la jeunesse. M’appuyant sur les travaux des élèves du lycée Champollion autour de G.Tillion et du travail d’arpentage effectué avec des personnes de tout âge à la Mosson, suivi d’un projet de lecture des citations de G.T slamée-dansée, par des jeunes de la Mosson qui aura pour titre : Les héritiers de Germaine Tillion. Je vais proposer quelques pistes pour faire connaître cette messagère de paix aux jeunes. Nous en avons besoin. »

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Rencontre, lecture et débat, avec Janine Teisson | jeudi 10 octobre à Montpellier

Rencontre et lecture avec Janine Teisson

autour de son roman Ô Karim

 

 S’en suivra un débat autour des thèmes : l’intégration, l’intégrisme, la Justice, l’éducation, le partage des cultures.

Local de l’association Odette Louise

au 14/16 Rue Marcellin Albert, à Montpellier Celleneuve.

 

Ô Karim, de Janine Teisson

Ô Karim, roman noir, éditions Chèvre feuille étoilée, mai 2024

 

Karim a 18 ans. Sensible, sportif, il prépare son bac quand soudain son destin bascule. Racisme ordinaire, injustice, prison infestée de drogues, intégrisme musulman vont se liguer pour le détruire. L’amour de sa sœur Halima, interne aux hôpitaux de Montpellier, de sa mère, de Céline la bibliothécaire, de Ted Leouf son ami graffeur n’y pourront rien.

Tout au long de ce roman qui commence par une tentative de meurtre, Halima, prise en tenailles entre intégristes moyenâgeux et nervis d’extrême-droite, exprime la douleur, la colère, le courage et la résistance d’une jeune femme qui croit dans les valeurs de la République et mène sa vie comme elle le décide.

 

EXTRAIT

Ô Karim, tu es parti en emportant un énorme morceau de ma vie, est-ce que tu le sais ? Quant à maman, j’ai peur que ce soit son âme…

Les policiers ont pris la boite à chaussures bleue qui contient tes souvenirs. Quand le plus âgé a plongé sa main dedans, j’ai eu envie de crier : « Vous n’avez pas le droit ! » Mais oui, ils l’ont. Des photos de classe, des Pokémon, un scoubidou, quelques cartes postales, le cahier rouge que Céline t’avait offert pour que tu y notes des poèmes et ton petit carnet de proverbes que tu avais commencé en CM2. Il l’a feuilleté. L’espoir fait vivre. Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras. Au collège tu as continué avec des citations : Gardez-moi de mes amis, quant à mes ennemis je m’en charge. (Voltaire). Mais toi, tu n’as su te garder de personne. Tu as grandi avec des garçons qui, à partir de douze ans, ont commencé à se prendre pour des caïds, qui méprisaient les filles, qui n’apprenaient plus en classe sous prétexte qu’ils ne voulaient pas obéir à des femmes, et les profs sont presque toutes des femmes.

/…./ Je voulais que tu sois moderne. Républicain. Féministe même. Je voulais que tu sois « L’Arabe idéal du vingt et unième siècle ». Beau, sportif, intelligent, pas sexiste, en marche vers de belles études, un beau métier. Ô Karim !